Dans son arrêt du 15 février 2007 ( 6 AZR 286/06 ), le VIe Sénat a dû se prononcer sur l’interprétation d’un avenant au contrat de travail comme un accord de rupture ou comme un contrat à durée déterminée ultérieur.
Si une rupture de la relation de travail avec un délai de douze mois est convenue après réception d’un préavis de rupture régulier par l’employeur avant l’expiration du délai de recours, il ne s’agit généralement pas d’une limitation ultérieure de la relation de travail, mais plutôt d’une accord de résiliation si aucun accord n’est conclu dans le cadre de l’accord. Il devrait y avoir une obligation d’effectuer un travail et, en même temps, les modalités de traitement telles que les indemnités de départ, la délivrance de certificats et la restitution des biens de l’entreprise devraient être réglementées.
Ist die Beendigungsvereinbarung jedoch in einem vom Arbeitgeber für eine Vielzahl von Fällen vorformulierten Vertrag enthalten, der als „Ergänzung zum Arbeitsvertrag“ zu gleich den Übertritt des Arbeitnehmers in eine „betriebsorganisatorisch eigenständige Einheit“ regelt, kann es sich je nach den Umständen um eine ungewöhnliche Be stimmung handeln, die gem. § 305c Abs. 1 BGB ne fait pas partie du contrat. Dans son arrêt du 19 juillet 2007 ( 6 AZR 774/06 ), le VIe Sénat a décidé que la conclusion d’un contrat écrit de service de gestion entre un salarié et son employeur peut également inclure la rupture mutuelle de la relation de travail.
Le contrat de service du directeur général pose les relations contractuelles entre les parties sur une nouvelle base et crée de nombreux nouveaux droits et obligations pour l’employé en vertu de la loi sur la GmbH. Il doit donc être clair pour un salarié que sa relation de travail prend fin avec la conclusion d’un tel contrat et sa nomination en tant que directeur général. Sous réserve de circonstances particulières au cas par cas, il n’existe aucun doute au sens de l’article 305c, paragraphe. 2 BGB, qu’un employé place ses relations contractuelles exclusivement sur cette nouvelle base contractuelle lors de la conclusion du contrat de service de gestion.
Cela s’applique également dans le contexte de l’article 623 du Code civil allemand (BGB), entré en vigueur le 1er mai 2000. Si la rupture de la relation de travail n’a pas été expressément convenue, il convient de déterminer, en interprétant l’accord écrit conclu, si l’intention de mettre fin à la relation de travail par consentement mutuel a été exprimée dans l’accord écrit. Des circonstances extérieures au document peuvent être prises en compte si la volonté juridique pertinente des parties a trouvé son expression, même imparfaite, dans le document formel. Si le salarié conclut un contrat de service écrit avec l’employeur, qui constitue la base de la nomination en tant que directeur général, la volonté des parties contractantes de mettre fin à la relation de travail précédemment établie est généralement reflétée de manière suffisamment claire dans le contrat de service écrit du directeur général.