S’il existe une coutume générale selon laquelle un groupe professionnel ou un secteur d’activité mentionne certaines réalisations ou caractéristiques de l’employé dans la référence, leur omission est généralement une indication (cachée) pour le lecteur de référence que l’employé est noté en dessous de la moyenne ou au mieux dans la moyenne. ce respect (silence éloquent). Le salarié a alors droit à une attestation complétée. Ceci est requis par les principes de clarté du témoignage (§ 109, paragraphe 2, GewO) et de vérité du témoignage. C’est pour cette raison que le Neuvième Sénat a renvoyé l’affaire 9 AZR 632/07 devant le tribunal inférieur dans son jugement du 12 août 2008. Le Tribunal du travail de l’État doit préciser si l’évaluation de la résilience dans des situations stressantes fait partie du contenu habituel des certificats des journalistes des quotidiens. En fait, la détermination de l’utilisation des preuves est réservée à l’autorité factuelle.